L’entreprise est un endroit où un adulte passe un très grande partie de son temps, parfois même la plus grande partie de son temps en étant éveillé. Il est donc primordial de s’y sentir bien pour pouvoir tenir dans la durée. Parallèlement à cela, un salarié bénéficiant d’un environnement sain est plus motivé et donc plus productif et plus engagé. Le bien-être en entreprise est donc devenu un véritable enjeu pour retenir et fidéliser les meilleurs éléments.

La santé et la sécurité au travail

On a toujours tendance à penser que les chantiers sont les seuls endroits de travail présentant des dangers. Les bureaux peuvent également présenter des risques, mais d’un autre genre. En effet, la santé et la sécurité du travailleur peuvent être affectées de différentes manières pouvant entraîner une maladie professionnelle. La santé et sécurité au travail se trouvent donc au centre des préoccupations de l’entreprise actuellement. Cette dernière se donne les moyens d’y parvenir en formant ses ressources concernées et en mettant en place les préventions nécessaires. pour plus d’informations, contactez idprevention.com.

Les risques professionnels

En matière de bien-être au travail, il faut également prendre en compte les risques professionnels. Ces risques sont réels et ne doivent pas être négligés. Les entreprises ont parfois recours au travail intérimaire et au travail des seniors pour certaines fonctions de courte durée, mais qui peuvent être essentielles au bon déroulement de l’activité. Ces travailleurs doivent être pris en compte malgré leur statut. Le stress est aussi une menace pour les salariés et un stress chronique peut causer un burn-out. Il ne faut pas oublier la situation de différentes fonctions comme le travail de manutention, le travail de nuit, en hauteur ou encore le travail répétitif. L’entreprise se doit de prendre les mesures adéquates pour prévenir les risques y afférents.

Le rôle du médecin du travail

La visite d’information et de prévention effectuée par le médecin du travail constitue une démarche nécessaire pour assurer une prévention efficace. Elle permet de détecter les potentielles sources de maladies professionnelles et donc préconiser des mesures pour les réduire voire les supprimer. En termes de maladies professionnelles, on peut noter le risque d’amiante, les risques psychosociaux au travail liés au stress, l’ambiance sonore au travail qui peut entraîner la surdité de certains collaborateurs. Également les risques d’intoxication alimentaire pour les restaurants en entreprise. Le médecin du travail joue un rôle très important pour permettre aux entreprises d’assurer efficacement la sécurité au travail.

La prise en compte de ces différents éléments contribuent grandement au bien-être au travail. Mais il ne faut pas oublier de se soucier des personnes en leur proposant un cadre de travail agréable et des activités récréatives pour les motiver.

La pénibilité au travail constitue une des préoccupations majeures non seulement pour les salariés, mais aussi pour les entreprises ainsi que pour les partenaires sociaux œuvrant dans la défense du droit des travailleurs. Cette pénibilité de travail est devenue un vrai enjeu sociétal du fait qu’il existe des nos jours des emplois qui mettent la santé des travailleurs en danger et risquent de limiter leur espérance de vie bien avant d’arriver à la retraite.

Qu’est-ce que la pénibilité au travail ?

Dans le Code de travail, la pénibilité au travail est définie comme étant l’exposition d’un salarié à des risques professionnels et dont les traces y afférentes peuvent être durables, identifiables et irréversibles notamment sur son état de santé physique et mentale. Conscient de importance de la question de la pénibilité dans le domaine professionnel, des experts en la matière comme Idprevention ont même organisé des formations sur le sujet, dédiées aux responsables RH, aux chefs d’entreprise ou encore aux salariés afin de connaitre les plans de prévention efficaces au cas où il serait face à une situation de pénibilité au travail.

Identifiez les facteurs de risques professionnels

Il existe plusieurs facteurs de risques professionnels permettant de caractériser la pénibilité dans le milieu professionnel dont entre autres, l’exposition à des températures insupportables (moins de 5°C ou plus de 30°C) en permanence, le travail répétitif pouvant engendrer un TMS ou un trouble musco-squelettique chez le salarié au bout de quelques années. En effet, la loi interdit la répétition de 30 actions techniques précises pendant une minute du fait qu’un tel rythme de travail est susceptible de laisser des traces irréversibles et représente un danger pour la santé du salarié. Il en est de même pour l’exposition au bruit, le travail de nuit, les manutentions manuelles des charges lourdes, les postures pénibles pour l’articulation etc. Limiter les risques psychosociaux au travail figure parmi les priorités de l’Etat à travers la réforme de la retraite.

Quelles en sont les actions de prévention ?

L’objectif des politiques de prévention des risques professionnels est de préserver au mieux la santé des salariés. Le dialogue social sur les actions de prévention de la pénibilité au travail peut être un moyen efficace pour mettre en place un accord sur les conditions de travail adéquates permettant au travailleur de s’épanouir et de limiter les risques liés à l’exercice son métier. Il est également important de souligner que l’employeur s’engage à déclarer dans la fiche médicale du salarié les facteurs de risques professionnels auxquels il a été soumis ainsi que les dates précises et les mesures prises par l’entreprise pour y remédier afin d’en limiter les séquelles.

Vous vous trouvez en situation de handicap, et vous rencontrez plusieurs difficultés à faire quelque chose, et surtout à vous prendre en charge. Vous avez besoin d’aides pour affronter ce problème ? Cet article vous donne plus de renseignements sur les aides que vous pourrez obtenir.

Les différentes aides pour les adultes handicapés

Désormais, une personne handicapée peut bénéficier des aides handicap et invalidité dans leur vie quotidienne.

 Les aides pour les enfants handicapés

 Avez-vous un enfant handicapé ? Il peut bénéficier de quelques aides handicap et invalidité. L’AEEF ou l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé reste à votre disposition. S’il est à votre charge de cet enfant, son allocation vous compensera le coût des soins que vous donnez et les frais de l’éducation de cet enfant. Cette aide dépend de son âge, et de son taux d’incapacité.

Il y a aussi ce qu’on appelle l’AJPP ou l’aide pour s’occuper d’un enfant handicapé. Elle est destinée aux parents qui ont totalement cessé de travailler pour bien s’occuper de leur enfant handicapé.

 Les autres aides pour les invalidités

 Sachez que les personnes âgées peuvent aussi se trouver en situation de handicap et elles peuvent aussi obtenir quelques aides handicap et invalidité.

Même si vous êtes invalides et handicapés, vous pourrez tirer profit de plusieurs aides de solidarité. Alors, pourquoi ne pas en profiter. ?

La place des personnes présentant des handicaps dans la société est encore assez délicat. D’ailleurs, tout le monde est libre de vivre et de s’épanouir que ça soit dans la vie quotidienne, mais surtout dans la société. Ainsi, il est important de savoir que chacun a une valeur à ajouter que ça soit une personne handicapée ou non handicapée.

Les personnes handicapées

D’abord, il faut noter que les individus qui sont  handicapés ont le même droit que les autres personnes ne présentant pas des handicaps. D’ailleurs, ils ont encore des difficultés à s’adapter dans le milieu social. En effet, les personnes handicapées ont des qualités assez particulières. Et même, avec leur handicape, il pose beaucoup de questions et cela les pousse à avoir l’ambition pour réussir. Ils ont un esprit combatif.

La place d’un handicap dans la société

D’emblée, il est important de savoir que chaque personne a sa propre valeur. En effet, la valeur d’une personne se présente sous diverses formes en fonction de la situation rencontrée. D’ailleurs, la place des personnes ayant des handicaps dans la société s’avère encore difficile. Les personnes handicapées ont dû mal dans la recherche d’emploi puisque les recruteurs énumèrent beaucoup de questions : est-ce-ce que la personne sera capable ? Est-ce-que la personne va réussir à suivre le rythme ? Comment gérer son cas ? Ce sont les questions souvent évoquées. Par contre, il faut attribuer la chance à toutes personnes pour qu’elles puissent démontrer et apporter sa valeur ajoutée.

Recrutement des travailleurs handicapés

Dans la société, chaque employeur exige des personnes en bonne santé pour ne pas impacter la production ou pour ne pas perdre de temps avec une personne qui est jugé comme étant non-capable. Par ailleurs, il est important de savoir que les personnes handicapées sont capables d’offrir un service jugé incapable par rapport au travail, mais surtout une activité professionnelle soignée. Ainsi, ils ont l’envi de donner plus pour ne pas décevoir l’employeur. L’ambition qu’ils ont les permet de casser le mur sans se poser des questions par rapport à leur limite. En effet, le recrutement des travailleurs handicapés permettra de changer l’image négative propagée, mais aussi un moyen pour montrer aux mondes entiers qu’ils ont leur place dans la société et ils sont capables de donner des résultats exceptionnels. Les handicapés qualifiés comme étant des personnes incapables seront inversés vis-à-vis de la société. Ils ont le droit de vivre et d’avoir la chance comme toutes les autres personnes.

L’inaptitude au travail peut être causée par une maladie professionnelle ou un accident de travail et correspond à une inaptitude professionnelle. Le salarié peut aussi subir une inaptitude non professionnelle à la suite d’un accident domestique ou maladie non professionnelle. Ce handicap prévient notamment la reprise de l’ancien poste du salarié et implique plusieurs scénarios selon la nature et la gravité de l’inaptitude.

Reclassement du salarié

L’avis de reconnaissance d’inaptitude est généralement délivré par le médecin du travail pendant l’exécution du contrat de travail (visite ou pré-visite de reprise, etc.). Le document rendu par ce dernier comportera alors des conclusions rédigées précisant les indications de reclassement de l’employé, et fixera par ailleurs les obligations de l’employeur. Ce dernier ne licenciera donc pas directement le salarié et sera tenu de reclasser celui-ci en lui attribuant un poste plus adapté à ces nouvelles conditions, en prenant en compte les préconisations du médecin de travail. L’employeur consultera au passage le CSE concernant les postes de reclassement, et ces derniers se situeront en principe au sein de l’entreprise ou ces annexes présentes sur le territoire national.

Attention, l’employeur n’est pas contraint par un délai pour reclasser l’employé, mais il sera en revanche obligé de verser une compensation si le salarié n’est toujours pas reclassé ou licencié après une période d’un mois suivant la date de l’examen médical de reprise de travail.

Licenciement pour inaptitude

Les conséquences de l’inaptitude au travail peuvent également mener au licenciement immédiat de l’employé. La procédure de licenciement d’un salarié inapte demeure identique à celle d’un renvoi pour motif personnel et requiert une convocation menant à un entretien préalable au licenciement, qui sera accompagné d’une lettre de licenciement pour inaptitude sans possibilité de reclassement.  Un délai de cinq jours ouvrables est imposé à l’employeur entre la remise en main propre du courrier notifiant la convocation et la date de l’entretien.

Les indemnités de licenciement varient cependant selon l’origine professionnelle ou non de l’inaptitude, en effet, les inaptitudes de nature professionnelles offrent plus d’avantages par rapport à celles non professionnelles (indemnités doublée, indemnités compensatrices de préavis et congés payés, etc.).

CDD et retraite

L’inaptitude au travail permet à l’employeur de rompre les contrats à durée déterminée (CDD) quelle que soit son origine lorsque celle-ci est constatée par le médecin de travail. L’obligation de reclassement devra d’abord s’appliquer avant la rupture du contrat, et le salarié sera en mesure de percevoir une indemnité de rupture dont le montant est égal aux indemnités de licenciement.

Un employé peut enfin être envoyé à la retraite pour inaptitude, mais dans le cadre de la retraite, l’état d’inaptitude sera apprécié en fonction du dernier emploi exercé au cours des cinq ans précédant la demande d’inaptitude.

L’inaptitude au travail peut se définir comme l’impossibilité pour un salarié de continuer l’exercice de son activité professionnelle, en raison d’une dégradation de ses capacités physiques ou mentales. Cette situation peut notamment résulter d’un accident du travail ou d’une maladie grave, de nature handicapante. Dans ce cas, quels sont les critères considérés pour la reconnaissance de l’inaptitude au travail ?

Le médecin du travail, seul compétent pour prononcer une inaptitude

D’après la loi travail (loi 2016-1088, du 8 août 2016), seul le médecin du travail est compétent pour déclarer l’inaptitude d’un salarié à continuer son travail. Toutefois, la constatation nécessite des échanges préalables entre celui-ci et le salarié, mais aussi avec le médecin l’employeur. De ce fait, le médecin du travail doit réaliser une étude du poste occupé par le salarié, ainsi que des conditions de travail. Dans cette procédure, il peut se faire assister par une équipe pluridisciplinaire, afin de s’assurer de rendre un constat objectif.  Par la suite, il formule un avis médical, lequel fait état ou non de la reconnaissance de l’inaptitude au travail. Une fois transmis à l’employeur, cet avis doit permettre la prise de mesures adéquates.

Les visites médicales, bases de la reconnaissance de l’inaptitude

En général, les salariés d’une entreprise sont sujets à des visites médicales régulières, s’inscrivant dans le cadre d’une surveillance médicale. En outre, il y a aussi la visite médicale de reprise qui s’effectue à la suite d’un arrêt maladie. Dans ce cas, lorsque l’inaptitude de l’employé semble inévitable, ce dernier peut demander lui-même à se faire réexaminer, ou bien sur initiative de son médecin traitant. Suivant le résultat des examens, l’inaptitude peut être totale lorsque le salarié n’est plus capable d’accomplir aucune tâche correspondant à son poste. Aussi, elle peut être partielle, quand l’individu parvient quand même à remplir certaines actions relatives à son travail.

Les obligations de l’employeur en matière de reconnaissance de l’inaptitude au travail

Face à ce genre de situation, deux options s’offrent à l’employeur. En premier lieu, il y a le reclassement. En effet, la loi oblige l’employeur à proposer au salarié déclaré inapte, un poste adapté sa capacité physique ou mentale. Même si le médecin du travail estime que l’individu ne peut plus reprendre son poste, l’employeur doit quand même mettre en œuvre cette démarche. En cas d’impossibilité, celui-ci doit motiver sa décision, notamment grâce à l’avis transmis par le médecin. Dans ce cas, il devra alors engager une procédure de licenciement pour inaptitude. Cette autre procédure est assortie au paiement d’une réparation, lorsque l’incapacité est d’origine professionnelle, c’est-à-dire un accident du travail, ou une maladie professionnelle directement liée à l’activité exercée.

Plusieurs raisons peuvent être à l’origine d’une souffrance profonde au travail. En effet, cela peut être en rapport avec la vie personnelle, sociale ou professionnelle du salarié.

Les principales sources de stress au travail

Le stress est l’un des principaux indicateurs de souffrance au travail le plus connu actuellement. En effet, lorsqu’il est question de risques psychosociaux au travail, le mot pression est souvent évoqué. Il s’agit des exigences liées au travail qui font partie des sources de stress et de souffrance fréquemment constatés dans les entreprises. Bien évidemment, plus d’un quart des salariés subissent actuellement des pressions de la part de leurs employeurs concernant la quantité du travail. D’autre part, le manque de manœuvre et d’autonomie au travail est également un facteur de souffrance. Un stress qui est souvent provoqué par l’insuffisance de temps libre et la quantité de travail effectué par le salarié. En outre, ne pas pouvoir développer ou ne pas pouvoir utiliser ses compétences peut également être un facteur de stress. C’est une source de nombreux troubles psychologiques qui entraîne une sensation de mal-être au travail.

Les indicateurs de souffrance classiques

Le turn-over fait est aussi considéré comme l’un des indicateurs de souffrance au travail. En effet, ce phénomène est actuellement très souvent constaté au sein des entreprises. En général, le turn-over dans l’entreprise est généralement provoqué par la mauvaise condition au travail, le stress, le climat social, l’envie de trouver un emploi beaucoup plus rémunéré, etc. Ce sont les cas les plus connus incitant les salariés à abandonner leur poste. D’autre part, l’absence prolongée de l’employé est également un des indicateurs de souffrance au travail. Dans la plupart des cas, l’absentéisme est dû par la démotivation du salarié. Il se peut également que cela soit causé par une rémunération insuffisante.

Ce que vous devez savoir

Tout d’abord, sachez que la prévention de la souffrance au travail est une tâche qui revient à l’employeur uniquement. C’est donc l’employeur qui doit être chargé de la sécurité et des obligations concernant la santé des salariés qu’elle soit mentale ou physique. D’après la loi, c’est à l’obligation du gérant ou de l’employeur de trouver des solutions nécessaires pour assurer la protection des employés afin d’éviter les éventuels accidents qui peuvent être de graves sources de souffrance au travail. En effet, l’employeur est donc responsable de toutes les mesures utiles pour prévenir les problèmes de violence, de stress, de harcèlement sexuel et moral au travail. À cet effet, que l’employeur a commis des fautes ou non. Lui est lui seul est la responsable du salarié.

Divers incidents de la vie au travail se révèlent très bouleversants pour les collègues. Et prends de l’ampleur sur le bon pilotage de l’entreprise.

Lors d’un problème majeur, la crise qui en découle apporte des confusions organisationnelles, psychiques et sociales. Dans ce cas, l’administration se doit de trouver des stratégies adéquates pour faire face à cette étape difficile.

Le concept de crise proprement dite

Un événement traumatique en milieu professionnel est un phénomène violent, brusque et imprévu, associé à des affolements puissants de façon immédiate ou détournée, ou avec une forte lésion à l’épanouissement physique et psychique et à l’entourage.

La crise se définit comme l’entrée de ces faits déséquilibrants, qui affecte l’équipe de travail et sa stabilité.

A priori, elle exerce d’importants impacts au sein d’un établissement. Notamment, une période accablante affaiblit une enseigne, car elle témoigne de l’interruption avec sa marche usuelle et la conduit dans une position d’obscurités redoutables. De grands troubles à courte et moyenne échéance se forment dont les manifestations les plus habituelles sont : l’absence, la démobilisation, le désordre du métier qui fournissent souvent aux subordonnés un danger et de l’épuisement professionnel.

Les effets des circonstances lésionnelles en entreprise

Les origines d’un événement traumatique en milieu professionnel se réunissent en diverses classes. Du point de vue du personnel, un risque de décès soudain tel que l’accident cardiovasculaire, la mort volontaire, hallucination incontrôlée, agressions ; concernant les conditions matérielles ou techniques internes, il s’agit de l’incendie, la déflagration ou l’écoulement nocif important, la chute de constructions, l’effondrement par une machine ou engin ; celles des catastrophes naturelles : naufrages, orages, flammes de forêt ; côté des atrocités externes : démolition des biens, attaque à main armée, brutalités terroristes.

Ainsi, les travailleurs, victimes de ces brutalités vont souffrir d’un choc émotionnel, qui s’exprime par la lividité, une complication respiratoire, une palpitation, des agitations et des contractions digestives.

Ils en ressentent également de l’angoisse pointue.

Les moyens d’appui du post-traumatique en société

Pour éviter la survenance d’un événement traumatique en milieu professionnel, il s’avère indispensable d’établir :  une formation conforme aux personnes nécessitant des connaissances et de l’expérience ; une mesure d’accompagnement des travailleurs en déchirure ; des apprentissages et des mouvements pour que chacun œuvre ensemble en amont d’un obstacle conditionnel.

En revanche, dès l’apparition de la mésaventure, il convient de former une cellule de crise rassemblant le Directeur des ressources humaines, le médecin, l’assistante sociale du métier et le psychothérapeute extérieur, attribue de l’aide multi-usage en état de ramener la facilité de dialogue et d’agencement d’actions dans le milieu individuel des unités offensées. Cette cellule de crise se doit aussi d’inciter et d’améliorer des démarches définitives, en se distribuant les activités à accomplir en urgence.

Par définition, la fatigue est un affaiblissement physique ou mental, résultant d’un effort excessif ou répété. Les salariés d’entreprises sont les plus exposés à ce phénomène. Comment le détecter, et surtout comment l’éviter ? Apprendre à surmonter la fatigue chronique est crucial pour préserver sa santé. Il est important de comprendre les métiers les plus pénibles liés à ce problème.

Dénouer le problème en identifiant les facteurs liés au travail

L’épuisement professionnel peut être qualifié comme une sensation de lassitude émotionnelle, d’obscénité ou bien d’inutilité au lieu de travail. Dans la plupart des cas, celui-ci produit des effets très négatifs sur le travail, mais surtout sur la santé de l’employé concerné.

En effet, le découragement du métier constitue une menace pour une personne qui s’estime ne pas être à la hauteur, pour fournir une participation satisfaisante à son travail. Il se peut aussi que son efforts n’ait pas été assez pris en compte, notamment en cas de rivalités de fonction et de surcroît de activité. Le manque de reconnaissance peut donc aussi être considéré comme un facteur d’épuisement, en plus de la pression et de l’effort physique trop excessif. Une bonne gestion du temps et des priorités peut aider à surmonter la fatigue chronique. Identifier les métiers les plus pénibles spécifiques à chaque situation est crucial.

Pour limiter les facteurs d’abattement au travail, beaucoup d’entreprises ont mis en place un programme de gestion de la santé et un soutien psychologique, au profit de leurs salariés.

Discerner les signes et symptômes

Parmi les symptômes les plus remarqués en ce qui concerne l’épuisement professionnel, on peut citer : la baisse de motivation et de productivité, les fautes répétées, la défaillance, la migraine, la susceptibilité, la suspicion, et bien d’autres encore. Ce phénomène peut aussi se manifester par une certaine forme de dépression, plus ou moins grave. La compréhension des métiers les plus pénibles permet une intervention plus efficace.

Sans une prise en charge et un accompagnement adapté, une personne présentant de tels signes peut vite être victime de graves ennuis de santé, voire même une tendance suicidaire.

Comment prévenir l’épuisement au travail ?

Pour éviter au maximum l’épuisement professionnel de leurs salariés les dirigeants d’entreprises sont fortement conseillés d’adopter des stratégies adéquates. Pour n’en citer, il y a par exemple l’assistance et l’accompagnement des employés par des médecins spécialisés, l’adaptation de la grille d’évaluation de la productivité du personnel, ou encore le respect des normes relatives au droit du travail (horaire, rémunération…). Des stratégies pour surmonter la fatigue chronique doivent être mises en place au sein de l’entreprise. Il faut également considérer les métiers les plus pénibles dans le développement de ces stratégies.

Sachez qu’il est aussi important pour un employé de bénéficier d’un environnement de travail bien organisé, améliorant ainsi son confort et sa productivité. Le respect de ces conditions diminue considérablement les risques d’épuisement, et favorise un meilleur épanouissement personnel. Adoptez dans ce cas les bons gestes pour protéger vos employés de manière efficace, mais aussi promouvoir vos activités.

Dans le monde professionnel, quelques difficultés ou dangers liés au travail peuvent survenir. Ils peuvent affecter la santé des travailleurs ou même causer des dommages. Les employés devraient être protégés contre les éventuels risques au travail. Pour prévenir les risques au travail, les dirigeants doivent prendre des mesures de protection et de sécurité de la santé des travailleurs. Mais comment évaluer et gérer les risques professionnels ?

Les différents risques au travail

Des activités non maîtrisées comme l’utilisation des produits chimiques par exemple peuvent entraîner des risques professionnels. Les risques liés au travail se présentent sous diverses formes selon les différentes activités de l’entreprise. Ils peuvent être d’origine physique (intempéries, incendie, explosion, etc.) ; d’origine chimique (exposition aux produits toxiques, cancérigènes, allergénique, etc.) ; d’origine mécanique (écrasements, heurts, etc.) ; d’origine biologique (contamination, exposition aux agents infectieux, etc.). À part les maladies et les dommages corporels, le harcèlement moral ou même sexuel, les agressions physique ou verbale, les charges excessives, etc. peuvent provoquer des dommages psychologiques des travailleurs. Tous ces risques provoquent des effets immédiats et des conséquences graves. Les employeurs doivent alors procéder à une évaluation des risques en ce qui concerne la sécurité et la santé au travail.

L’évaluation des risques au travail

L’évaluation des risques concerne notamment l’évaluation proprement dite, le classement et la classification des risques. Elle doit s’effectuer une fois par an au minimum. Chaque fois, un changement se déroulera sur le lieu de travail (utilisation d’un nouveau produit ou préparation chimique, installation de nouveaux équipements, nouveaux protocoles de travail, etc.), il devient obligatoire d’effectuer une évaluation des risques. L’évaluation des risques est un processus de prévision des risques. L’évaluation tient compte de l’efficacité des contrôles en vigueur et de l’acceptabilité des risques. Pour prévenir les risques au travail, diverses méthodes d’évaluation des risques restent actuellement disponibles notamment les méthodes simples jusqu’aux plus complexes et les méthodes expertes aux méthodes participatives.

La maîtrise des risques et les mesures de prévention

Après avoir évalué les risques, le but ultime reste de les minimiser. Pour prévenir les risques au travail, il s’avère indispensable de bien maîtriser les risques susceptibles de survenir dans votre établissement. Des mesures de sécurité devraient être mises en œuvre afin de mieux protéger les personnes en danger. En effet, si des mesures de prévention sont prises, à titre d’exemple, le port d’un masque et de gants, le risque de dommages devient minime. Ainsi, il convient d’adopter des mesures de prévention (mesures techniques, médicales et légales) dans certaines situations.

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